Demeurer à la maison, se reposer et pratiquer des activités (comme la lecture et l’envoi de messages texte) pendant de courtes périodes de cinq à quinze minutes, puis augmenter lentement la durée des activités. B) l’obtention d’une confirmation écrite de la part des destinataires autres que les parents et les tuteurs attestant qu’ils ont examiné ces renseignements en vue de recevoir l’autorisation de participer à l’activité en question ou de la part des parents et des tuteurs pour que leur enfant reçoive cette même autorisation. Les revues de la littérature sont un outil essentiel pour soutenir la planification et la prise de décision fondées sur des données probantes. Pour rester connecté à l’AQNP, rejoignez-nous sur notre page Facebook et profitez d’informations récentes et variées sur la neuropsychologie. Rejoignez-nous sur notre page Facebook et profitez d’informations récentes et variées sur la neuropsychologie. Retrouvez des informations fiables et accessibles sur les troubles neuropsychologiques rédigés par nos experts.
Dryden a indiqué au Sous‑comité que ce n’est pas la sensibilisation qui pose problème. Il a souligné qu’il fallait agir et il a indiqué qu’un changement de culture s’imposait dans le sport pour éviter que les intervenants ne soient réticents à agir lorsqu’ils soupçonnent une commotion cérébrale chez un athlète. Le terme commotion cérébrale a été adopté par le monde de la médecine sportive, alors que le terme traumatisme crânien léger est utilisé lorsque l’accident à l’origine de la blessure n’est pas de nature sportive. L’Organisation mondiale de la santé ainsi que plusieurs associations médicales proposent d’utiliser exclusivement le terme traumatisme crânien léger. Malgré cela, dans le monde du sport on persiste à utiliser l’expression commotion cérébrale. Un groupe de chercheurs a démontré que les séquelles occasionnées par une commotion liée au sport sont comparables à celles causées par un traumatisme crânien léger lié à un accident de la route.
Le Sous‑comité estime qu’en réduisant les risques de commotion cérébrale et en améliorant la prise en charge de ceux qui en souffrent, nous pourrons accroître la sécurité des sports. M. Dryden a indiqué au Sous-comité qu’au hockey, tout comme dans la majorité des sports compétitifs, il y a une culture omniprésente qui pousse les joueurs à jouer aux « durs » et à continuer de jouer malgré les blessures, et un environnement où on fait sentir aux athlètes qu’ils sont faibles s’ils se plaignent d’une blessure. Dans ce contexte, les commotions cérébrales liées aux sports constituent une blessure particulièrement difficile. Contrairement aux os brisés, aux articulations démises, aux ligaments déchirés et aux yeux tuméfiés, une commotion peut être invisible aux yeux de l’athlète et aux yeux des autorités en matière de sports, et même aux yeux d’un professionnel de la santé qui n’a pas suivi de formation à cet égard.
SCSC, Témoignages, 20 février 2019, 1805 (Dre Elizabeth Hobden, présidente élue, Académie canadienne de médecine du sport et de l’exercice). Le protocole précise que tout rapport signé par une infirmière doit contenir une déclaration indiquant qu’aucun médecin, ni aucun médecin auxiliaire ni aucune infirmière praticienne n’étaient disponibles pour examiner le jeune athlète mais que l’infirmière avait consulté une telle personne au moment d’élaborer le document. Propulser l’ère du sport 4.0 en développant de nouvelles technologies adaptatives et intelligentes pour optimiser la santé et la sécurité des athlètes.
De plus, une étude canadienne ayant évalué les fonctions cognitives de 786 athlètes a révélé que les sportifs ayant subi trois commotions ou plus durant leur vie sportive présentaient des troubles persistants de mémoire verbale. Une analyse comparative de la littérature scientifique met quant à elle en évidence les déficits persistants de mémoire à long terme et des fonctions cognitives supérieures chez les athlètes ayant accumulé trois commotions ou plus. Que le ministre de la Santé demande à l’Agence de la santé publique du Canada, en sa qualité de membre du Consortium conjoint pancanadien pour les écoles en santé, de promouvoir la diffusion et la mise en œuvre de protocoles sur les commotions cérébrales pour toutes les activités sportives en milieu scolaire. Que le gouvernement du Canada fasse en sorte que le financement fédéral versé à chaque organisation sportive soit conditionnel à l’élaboration et à la mise en place de politiques et de protocoles à jour en ce qui concerne les commotions cérébrales liées au sport. M. Campbell a également mentionné que Sport Canada réalise des activités de sensibilisation auprès du secteur de l’éducation. À cet égard, Thể Thao Canada collabore avec le Consortium conjoint pancanadien pour les écoles en santé , reno and Decor magazine qui est membre du Groupe de travail, physiobalance.ca afin de favoriser la diffusion de documentation uniforme sur les commotions cérébrales à l’échelle du système sportif scolaire.
Loi Sur Les Commotions Cérébrales Chez Les Jeunes Athlètes
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